Site WWW de Laurent Bloch
Slogan du site

ISSN 2271-3905
Cliquez ici si vous voulez visiter mon autre site, orienté vers des sujets moins techniques.

Pour recevoir (au plus une fois par semaine) les nouveautés de ce site, indiquez ici votre adresse électronique :

Forum de l’article

NVMe : simple perfectionnement, ou prémice d’une révolution ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Lien hypertexte

(Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d’informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)

Rappel de la discussion
NVMe : simple perfectionnement, ou prémice d’une révolution ?
Nat - le 26 mai 2019

Le délai rotationnel n’est qu’une part du délai total, dont le plus gros est d’ordinaire le temps de positionnement de la tête, puisqu’avant de lire/écrire il faut qu’une tête survole la piste du secteur requis, donc que le train de têtes soit, si nécessaire, déplacé (hors cas fort rares tels que "zone scratch" ou disques dépourvus de servomoteurs dont chaque piste dispose de sa propre tête). D’autre part il faut parfois considérer le temps de transfert (des données de/vers le disque).

Les principaux critères de mesure de performance sont ici la latence et le débit. Le premier recèle 2 sous-groupes, correspondant chacun à un type d’accès (séquentiel ou aléatoire). Les performances du SSD rapportées à celles d’un disque dur, toutes choses aussi égales que possible par ailleurs, l’avantagent nettement à tous ces titres et c’est en matière d’accès aléatoires qu’il domine de façon écrasante. L’unité classique de mesure est l’IOPS et les performances d’un SSD sont environ de 2 ordres de grandeur supérieures (un disque dur performant atteint 250 IOPS, un SSD de gamme similaire 25000 IOPS), car il ne déplace aucun composant mécanique tel qu’un train de têtes (donc n’a pas à combattre d’inertie de ce type).

La notion de fichier était utile lorsque les réseaux étaient rares (<=> machines rarement interconnectées), afin de sauvegarder (hors de la machine concernée) et, plus largement, d’échanger des données entre ordinateurs. Elle l’est moins aujourd’hui car quasi toutes les machines sont interconnectées par au moins un réseau, toutefois ce fait est relativement récent (rapporté à l’âge de la notion de fichier, s’entend).

Derniers commentaires

Analyse de l’algorithme de Fibonacci
Cet article me fait penser à la manière dont j’ai été bluffé par ChatGPT qui me proposait (...)

Quand la machine apprend
Passionnant livre, parmi l’abondante et inégale floraison actuelle de bouquins sur l’IA. Au (...)

Controverses autour du Système d’information (SI)
Les traités d’informatisation des années 1960 (CEGOS- G. Bauvin, etc.) expliquaient déjà que (...)

Informatique confidentielle
Je cite "moins d’une machine virtuelle que d’un système exploitation virtuel". On a vraiment (...)

Pourquoi Scheme ?
Je suis étonné de la citation suivante dans le contexte d’un article "Pourquoi Scheme ?" : (...)