Bonsoir Laurent

Tout d’abord on n’abolira pas le racisme avec des lois. S’il s’agit d’interdire l’expression du racisme, je veux bien mais il ne faut pas le payer trop cher du côté de la démocratie et de la liberté d’expression. De fil en aiguille on risque de se retrouver condamné au silence et de toute façon on n’empêchera pas les chiens d’aboyer.

Déjà que les lois mémorielles posent de gros problèmes aux historiens, point n’est besoin d’en rajouter.
Et puis ces interdictions relèvent de la politique de l’autruche : du moment qu’on ne les entend pas on fait comme s’ils n’exiIstaient pas. Demain une simple critique de la politique israélienne pourra être considérée par un juge comme un délit. Et après ?